samedi 12 juillet 2008
Ça parle au yable
Oh la la. On dirait ben que j'me laisse aller... Je ne roule pas la bille de mon stylo autant que je le voudrait sur le triple double V. Ais-je perdu l'amour du kiborde ? Le dos de ma clarinette ? Même pas... Si je ne me suis point agenouillé devant l'hôtel miteux de ce site folichon, c'est que le tchou-tchou de la vie m'en a empêché. Vous êtes en beau verrat ? Fachés nouère ? Vous pouvez me crier des noms si votre glotte ne se peut plus. Mais dans l'ordre, je préfèrerais: Gonzague, Kaaaaarine et Thérèse.
Que pensez-vous, que je suis une gueuse-femme-tronc qui n'a pas de vie ? Heille. J'ai des projets de vie plein la grenouillère moi aussi. Quin:
- Regarder Francis Reddé s'extasier devant des courges musqués
- Serrer la pince de Bob Binette (Elsèy. Capote pas.)
- Réussir à avoir l'autographe du réalisateur de Frankenguidoune
- Relire un classique Frisson numéro 10: Le chouchou du professeur- Voir des vues où tout le budget des films à été mis sur du jus de canneberges ou du sirop de mais.
Et dire que j'ai réalisé ces belles activités en moins de temps qu'il faut pour crier : Fuck ! ma pop-tart est toute brûlée !. Épatant. Femme du monde je suis et femme du monde je resterai.
Maintenant que tout est dit, asteure checkez mon chat.
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2 commentaires:
té derole ma belle renoir...
On se voit le 26 Loulou !
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