mardi 4 novembre 2008

Des solutions pour les Zitasunis

Pour remettre sur pied l'économie:



Pour Le choix du président du s'quatre novembre au soir:



Dès que je finirai de swifferiser mon "New !" and "40 % BIGGER !" appartement, je vous reviendrais vous chatouiller le bedon en vous faisant de belles façons , car dans la vie, comme vous :

Yé yé yé
Who-ou-who-who ou-who yé
Yé yé yé
J'AI BESOIN DE M'AMUSER !!!

jeudi 11 septembre 2008

Celle qui attend septembre pour nous rentrer dedans


C’est pour créer une illusion de vacances permanentes que je sèche ce blogue comme une gothique déséquilibrée le jour de la rentrée scolaire. Quoique. J’aurai pu prolonger ces jours heureux en croquant nonchalamment dans une Wiener possédée par l’esprit de Maple Leaf, mais j’avoue qu’en matière de soucisse, j’ai un léger penchant pour la William Swiss et celle (géante) de mon conjoint.

Alors non, je ne suis pas partie backpacker pendant un mois en Biélorussie pour manger des Shnitzel. Ni faire un saut à Bratislava pour admirer le lunch (moulé à la perfection dans un bodysuit en lycra de couleur écru) de mon frère/cousin/ami rester étonnamment en place pendant un saut du chat parfaitement exécuté.

En fait, j’ai tout simplement passé des vacances en famille de principessa en Toscane, le genre d’endroit où quiconque garocherait sans vergogne pour toute sa collection de 30 sous Spécial Anniversaire dans toutes les fontaines pour être sûr d’y revenir asap. Ce n’est pas de la bouffonnerie, la Toscane (ou devrais-je dire Toxane, comme la fille à la langue percée au Jean Coutu) c’est comme le film de Diane Lane mais sans Diane, avec bien plus d’antipasto et de contorno, de dolci et de gelati, ce qui expliquerait la forme de polpetta (a.k.a. meatball) que j’ai adopté depuis mon retour.

J’ai quitté la ville en plein milieu du mois d’août, pendant que Montréal-la-festivalière-toujours-pompette pétillait avec l’effervescence d’un comprimé Polydent pour fumeur. Et qu’est-ce qui se passe à mon retour en terre canayenne ? Arien. Arien Pantoute.

La preuve qui s’est strictement rien passé ?

Nathalie Couillard était encore sur le cover de la Presse cette semaine.

* Soupir *

Maudite rentrée.

samedi 19 juillet 2008

Etes-vous observateur ?


Tambours, trompettes et confettis: voici la nouvelle image - améliorée - du Festival des films du monde. Elle vous faire sourire ? Plier en 2,3,4 ? Faire de l'origami avec votre rate ? C'est normal.
Essayons maintenant de voir pourquoi cette image-choc nous titille autant la glotte. Vous allez voir, il s'en passe des affaires là-dedans.

Ce qu'on apprend en regardant l'affiche du FFM 2008 :

- Le FFM a tellement de misère à trouver du financement qu'il a fait faire son affiche dans Paint par un stagiaire manchot à la plastique discutable.

- En prenant le symbole du chat, (partagé aussi par le festival de Jazz) Losique et sa bande capitalise sur la sympathie féline grâce à l'animal numéro 1 des fonds d'écran.

- Et pis, un chat, ça ne meure jamais tout à fait. Le FFM aussi.

- Mais ça dort beaucoup... devant des films plates par exemple.

Ok. Un autre jeu. Combien de références au cinéma pouvez-vous trouver dans l'image ?

- Le chat s'appelle Bunuel. Duh !(Bunuel Redenbacher au fait)
- Pis, il est cinéphile. Ça fait 2.
- En plus, il a des lunettes 3D. ça, ça fait cinéma ! 4.
- Il a un chapeau, clin d'oeil à la célèbre calotte de Losique, un autre qui aime les vues. On est rendu à 5 avec ça.
- C'est le même couvre-chef que cet autre monument du cinéma. 6.
- Son regard est à la fois frustré, intellectuel et condescendant comme un critique de cinéma. 7.
- Le noeud papillon se réfère sans aucun doute au film Papillon avec Dustin Hoffman et Steve McQueen et encore plus évident, au film canadien Le papillon bleu.
- Le fond de l'image est jaune. Jaune comme dans du popcorn. On est rendu dans les 2 chiffres, là !

En tout, ça fait un total de 10 symboles sur le 7ème art, wow ! 10 symbole pour une affiche, c'est-tu assez riche en message sublimal, ça ? Crésus. De quoi hypnotiser tous les cinéphiles dumondentier jusque dans le capitonné des sièges moelleux de l'Impérial.

Conclusion: ceux qui ne comprennent pas tous les bijoux d'ingéniosité de l'affiche ne connaissent rien au cinéma. Allez donc revoir vos classiques, gang de pas-d'allure. Et s'il vous plaît rembobinez, mes minets.

samedi 12 juillet 2008

Ça parle au yable


Oh la la. On dirait ben que j'me laisse aller... Je ne roule pas la bille de mon stylo autant que je le voudrait sur le triple double V. Ais-je perdu l'amour du kiborde ? Le dos de ma clarinette ? Même pas... Si je ne me suis point agenouillé devant l'hôtel miteux de ce site folichon, c'est que le tchou-tchou de la vie m'en a empêché. Vous êtes en beau verrat ? Fachés nouère ? Vous pouvez me crier des noms si votre glotte ne se peut plus. Mais dans l'ordre, je préfèrerais: Gonzague, Kaaaaarine et Thérèse.

Que pensez-vous, que je suis une gueuse-femme-tronc qui n'a pas de vie ? Heille. J'ai des projets de vie plein la grenouillère moi aussi. Quin:

- Regarder Francis Reddé s'extasier devant des courges musqués
- Serrer la pince de Bob Binette (Elsèy. Capote pas.)
- Réussir à avoir l'autographe du réalisateur de Frankenguidoune
- Relire un classique Frisson numéro 10: Le chouchou du professeur- Voir des vues où tout le budget des films à été mis sur du jus de canneberges ou du sirop de mais.

Et dire que j'ai réalisé ces belles activités en moins de temps qu'il faut pour crier : Fuck ! ma pop-tart est toute brûlée !. Épatant. Femme du monde je suis et femme du monde je resterai.

Maintenant que tout est dit, asteure checkez mon chat.

samedi 5 juillet 2008

Manon... Pèse sul'piton !


Tout ça a commencé avec C'est arrivé près de chez vous, Blair Witch project, Cloverfield et Diary of the dead: des gens essaie de filmer l'horreur en pleine face au cas où ils ne pourraient pas être vivant pour la raconter. Même scénario avec le film espagnol REC: une animatrice style Véronique Cloutier fait un reportage sur la vie des pompiers avant de devenir témoin d'un appel d'urgence qui tourne mal. Rapidement, chacun va comprendre trop vite qu'il est condamné. Pris au piège dans un immeuble capitonné, les gens vont devoir partager ce maigre espace avec des gens "infectés" par un quelconque virus qui ne fait pas beau à voir...

S'ensuit un crescendo de situations plus stressantes que jamais, build-up qui n'explose qu'à la toute fin, où les cris et les sursauts de la salle se mêlent à ceux de l'écran dans une parfaite symbiose. REC est décidément le film de Boo! par excellence. Si vous aimez comme moi avoir peur, allez voir REC et vous serez exaucer.Et de grâce, bien que ce soit la talent-tueuse Emily Rose qui joue dans le remake américain, gageons que la copie n'arrivera pas à un pouelle de l'original...

vendredi 4 juillet 2008

Du cinéma de bridés débridés


Pour ceusse que ça intéresse, le festival Fantasia est commencé. Je vais pas vous expliquer c'est quoi, parce que vous êtes branchés et/ou geek et vous savez de quoi je cause... Asiatique, excessif, violent, marrant, gore, hardcore, coquin, cabotin, sanglant, mets-en. Pas toujours bon, ni frais, mais toujours pour tous les goûts, comme ce Buffet Chinois de blogue, finalement. Rebatisons-le Buffet Asiatique pour l'occasion, ce sera plus dans le ton.

ALARE...

Nous disions donc, Fantasia est commencé et hier, j'ai pu en zieuter deux bobines pour l'occasion. Truffe, du réalisateur québécois Kim Nguyen, avec le couple cinoche de l'heure, Roy Dupuis et l'autre Céline, Bonnier de son petit nom. Un film en noir et blanc mêlant horreur, science-fiction et Michèle Richard en genre de cyborg. Bien que un peu long et décousu, cet anti-film québécois était assez divertissant. Avec Sukiaky Western Django de Takeshi Miike, on a eu droit à un western chop-suey assez bizarre, où des acteurs japonais parlent dans un anglais approximatif. Avec le double caméo de Tarantino venu faire son petit tour devant la caméra, la foule était vraiment en délire. Pendant ce temps, Beubé cognait des clous devant ce film explosif mais inégal et pas assez sanglant selon mes goûts. Quoique, j'ai déjà vu pire venant du réalisateur, mais mieux aussi...

http://www.cinoche.com/images/actualites/2008/20080416_truffe_actu.jpg

Pour la suite, voici ma TOO-SEE LIST: (cliquez ici pour les bandes-annonces)

REC (films de zombie espagnol filmé à la Blair Witch)
Le grand chef (un concours de cuisinier japonais, mmmm.... j'ai faim !)
Jack Brooks: Monster Slayer (Un mix entre Army of Darness et ce film que j'avais adoré)
Mother of Tears (Dario Argento, sa fille, et la suite de Suspiria et Inferno, tout de même)
Let the Right One In (film de vampire suédois)
Peur(s) du noir (dessins animés sans couleur qui font peur)
Bad Biology (Une femme à 7 clitos... Trop bizarre pour être plate)
Tokyo Gore Police (Le titre en dit suffisamment)
Alone (On aime ça les films avec des siamois)
Tunnels Rats (Des rats. Des tunnels. Ça me suffit ! )
Dance of the dead (Bal de finissants avec des zombies rockabilly)

Mais encore... ce n'est que les films que je veux voir sans faute, il y en a une dizaine d'autres qui m'intéressent aussi.
Sur ce, je vais aller parfaire mon bronzage dans les salles obscures. Si vous avez besoin d'un chaperon pour aller voir des vues épeurantes, pensez à moi !

samedi 28 juin 2008

Gold is the new Black


Aujourd'hui, j'ai acheté 2 trucs en or:

1)Une Visa Or Élégance pour remplacer ma carte de crédit impudiquement transparente.
2)L'album secret de l'émission Beverly Hills 90210 (oh.que.oui!) acheté à seulement 1,99$ chez Friperie Renaissance.

Bien que ces deux achats rutilants soient d'une pertinence inégalée, j'aurai pu tout aussi bien regarder un épisode des Golden Girls vêtue de paillettes dorées en buvant de la vodka Absolut Bling. Ou encore chanter La femme d'Or de Gerry Boulet en promenant un Golden Retriver à deux pattes. La prochaine fois peut-être...

vendredi 27 juin 2008

Aujourd'hui, si c'est humide et que l'air est à couper au coutelat...



Demandez-vous pas pourquoi. C'est probablement à cause de la sortie imminente de Batman, avec ce demi-dieu de Christian Bale, le plus beau céréale killer de toute l'histoire du cinéma. Oubliez Ironyman, le géant vert frustré et l'autre là, avec le plus-vraiment-frais Fresh Prince of Bel-Air, moi cet été, y'a seulement 2 film de super-héros qui vont mériter que je leur garoche mon ti-change et c'est : Batman et Hellboy II. À moins qu'ils se décident à sortir un film avec Ballondeplage-Man.

Et vous, quel superhéros auriez-vous envie de voir se faire exploiter sur des bockettes de popcorn ?

jeudi 26 juin 2008

Séparés à la naissance ?


Kilucrûtte. Encino Man et Toxie, des brozeurs ? Vraiment ? Non, pas vraiment. Mais avouez que le rapprochement vaut quand même une tite risette.

mardi 24 juin 2008

Je me souviens d'un lendemain de veille


Aujourd’hui c’est un double lendemain de veille puisque hier c’était la veille de la Saint-Jean. Pour réveiller les esprits, je suis allée dans le parc Molson pour boire de la Grolsch avec une fille qui s'appelait 4rine St-Jean. J’ai raté de peu le show des batteux slaques avec mon ancien kick qui jouait dans Zap. Dommage. J’aurai bien aimé les voir chanter Grosse Torche devant les yeux des parents alarmés. Par chance, j’étais toutouis pour écouter des bouffons chanter le tonitruant répertoire de Vazimolo. Un barbu déguisé en Passe-Careau se faisait aller le pouelle sur le stage en chantant Inspecteur Gadget, Mini-Fée, les Shroumpfs, Watatatow et ma préférée : l’enfant des âges farouches, Rahan. Il y avait aussi une madame avec un chic chapeau-parapluie qui dansait toute seule, des cadets roussels impatients de nous crisser dehors vers 23H00, le chanteur de Gatineau tout habillé, des feux d’artifices qui partaient dans tous les sens sauf à la verticale. C’est peut-être la Groslch ou c’est peut-être quelque chose de plus, mais l’espace d’un instant qui s’est prolongé en cascades de rires sur le gazon, j’ai réussi à oublier que je ratais la brassée de Dané et l’hommage de BoomBeau à Harmonium. Après avoir enfourché mon bicique tout rouillé jusqu’à la maison, j’ai zieuté le soleil qui était rouge, comme la pochette de King Créole.
Aujourd’hui, lendemain de veille dis-je, nous sommes jour de fête et moi et Beubé envoyons des Bonne St-Jean à tout vents. J’en envoie un de plus à Annie qui a pris le temps de me saluer sur le triple double V via un blogue beaucoup plus pertinent que celui que vous êtes en train de lire. Un post par jour que ça prend, pour être pris au sérieux. Je peux essayer de relever le défi qui a l’air moins laborieux que celui-ci, mais je ne deviendrais jamais sérieuse pour autant. La connerie est un costume qui me permet de vous laver le cerveau quand bon me semble sans que vous puissiez voir les bubulles sortir de vos oreilles. Tout ça en plus de vous faire apprécier les petites choses simples comme la peinture rupestre ou le style post-Bauhaus.
Ce soir, je me fais un coquet tête-à-tête avec le show de la St-Jean. Pour sortir des vapes, rien de mieux que faire la cynique sur un sofa et rire de Normand, son ex, sa fille au talent discutable ainsi que la blondasse qui joue du tam-tam sur des pots de Silhouette Mousse. Sur ce, bonne St-Jean à tous les maganés !

jeudi 19 juin 2008

À la demande générale : La toune de la semaine




Bon. C'est rien de bien pertinent tout ça, étant donné que c'était vendredi passé vendredi 13, anyway, je suis souvent en décalage.... ALARE... Qui est cette face chesse sur un piédestal qui n'a pas pris son NéoStrata comme l'indique Virginie, qui vante maintenant les mérites de l'Ontario à la télé ? Peu importe. Ce qui nous intéresse, c'est la musique. Voici le son que vous n'attendiez plus. Il est arrivé. De où ? On s'en fout. Un mélange de disco-funk-pepto-bismol qui vous prend à bras-le-corps sans vous demander la permission. Heille. Des plans pour que vous disiez : " Nenon, fontaine, je ne boirai pas de ton eau de vaisselle !" Moi je vous dit : " taisez-vous dont, ouvrez grand et callez-moi çte fontaine ! " Ce petit cordial musical, un mix de la toune de Ghostbusters et tsé là, celle qui joue dans Ferris Bueller et/ou dans Le Secret de mon $uccès, pis qui fait : Ooooh yeeaaaahhh - tchk - tchk -tchk -aaaaahhh ! Ça vous rignes une belle ? Non ? Ah si on avait eu la même gardienne peut-être qu'on pourrait se comprendre... Anyway, ce qui me fascine vraiment, au-delà du fait que Friday the 13th III est une vra de vra daube s'il n'y avait pas des effets ridicules en 3D, c'est cette musique absoluement non-horrifiante pour un slasher qui goal (motdejeu!) autant que ce cher Jason Voorhees.

Jamais trame sonore de film d'horreur n'aura été si inépeurante.
Merci, plaisirs gastro-nomiques !

vendredi 13 juin 2008

C'est la fête des pères dimanche

... Et nous sommes vendredi 13 aussi.

Lu dans le 7 jours



Alors que le journal de Mourial recèle parfois de petites perles langagières tout à fait délicieuses, le magazine 7 jours est une rivière de diamant en matière de titres douteux.

Dans une entrevue intimiste, Boom, le frère de l'autre, ouvre sont coeur aux lecteurs...
Quand je vous dit que ça parle au yable :

" J'ai arrêté de respirer pendant la naissance de ma fille." - Boom.

Quoi ? Il a arrêter de respirer ? L'espace d'un accouchement, nous étions si près du butte. Si seulement Dané, pouvait arrêter de respirer lui aussi.

Ça mérite une minute de silence...

mercredi 11 juin 2008

Attack of the Killer Tomatoes


Tiré de cyberpresse:

"Certaines variétés de tomates ont été mises à l'index aux États-Unis: les tomates italiennes, les Roma et les tomates rouges. Sur la photo: Mark Roth, de la Food and Drug Administration, dans un laboratoire régional à Irvine, en Californie."

Non mais r'garder moi cette binette patibulaire. Il fait presqu'aussi peur que le curé dans Poltergeist II.

Si on lui lançait des tomates contaminées ?

Soyez Aware !



Ah ben crime soda !

Quand il sort un film sur Jean-Claude Van Damme, intitulé sobrement JCVD, qui parle de JCVD, qui met en vedette JCVD et autres wannabe JCVD...
Ça me donne le tournis.
C'est comme un film, dans un film, dans un film, marilon, marilé.
Et ça me fait penser à ça. Non, plutôt à ça.

J'espère que ya kekun, kekpart, qui va penser à sortir cette daube en salle.
Car y'a pas que les belges qui trouvent ce bouffon drôle. Nous aussi on aime bien se foutre de sa gueule. La preuve :

lundi 9 juin 2008

Sommes-nous surpris quand...



Joël Legendre (Ou la voix de Leonardo DiCaprio, pour les plus intimes), se confie au 7 jours:

" Je suis à la fois la mère et le père de mes enfants."

Encore chanceux qu'il n'ait pas dit: "je suis à la fois le frère et la soeur de mes enfants."

On a affaire à une question-piège, on dirait...

vendredi 6 juin 2008

Kin, Côtelette Provencher !



Toto à vraiment tout pour lui... Beaucoup plus rigolo que la météo en ce moment !

Bon week-end de Grand Prix + Double ventre trottoir sous la pluie !!

mercredi 4 juin 2008

Je vous défie de ne pas pleurer de rire



Ce matin, mon boss m'a montré ça. Du pipi-caca-poil à son meilleur !

mardi 3 juin 2008

Après YouTube, voici MonTube


Pour accessoiriser sa babine, vaut toujours mieux y aller avec les classiques.

Et parlant de classique, le Dr. Pepper Lip Smacker écrase toute competition possible en matière de lipgloss. Car peu importe votre degré de gerçage mesdames, le fabuleux Docteur Poivre saura vous moisturer comme aucun homme pourrait le faire, pas même un Brat Pie au garde-à-vous.

Plus lubrifiant que du kéwouialle et meilleur au goût que ce qu'utilisait le monde avant l’invention du kéwouaille, ce lipgloss marron est le vrai Tube des Dieux . Par-dessus toute, il hume bon le breuvage pétillant. Le même pétillant qui glonflait la vessie de Gump, Forest de son petit nom.

Et que dire de sa couleur follement ambiguë ? Le mélange Marron # 5 + Rouge # 32 sur votre lèvre tendue est la touche glamour qu’il manquait à votre one-piece-suit en velours. Ne reste plus qu’à dire beubye à votre baume frigide à la gomme balloune et de faire une vamp de vous-même, Lolita prête-à-tout. Ce sera the killer kisseur ou rien pantoute !

Dernière recommandation: si ça goûtait à fond le Dr. Pepper, vous risquerez de gober ledit tube. Et crèyez-moi mesdames, c’est bien quelque chose qui ne se refait pas… Mon lipstick Barbie à saveur de bubulle gomme qui perdit la vie en 1987 dans le fin fond de mon estomac pourra en témoigner. Mon palai ciré était graisseux pendant des jours, tellement glissant que j’aurai pu avaler des chauyères de sable sans problème. Et laissez-moi vous dire qu’avoir une glotte parafiné, c’est pas mal heavé comme expérience. Alors mangez pas le tube, ok ? Ça serait quand même ridicule qu’il soit écrit sur le prochain lipglass de CHANEL : fait pour pour usage externe seulement. Encore que… Bon, suffit les digressions.

Docteur Poivre vous guérit le gerçage en plus de vous pétiller le kisseur.!!! Mettez-ça dans votre pipe et/ou sacoche. Et laissez tomber les détracteurs de baumes de tout acabit, ils ne savent pas ce qu'ils font.

dimanche 1 juin 2008

Femme des cavernes


Jeudi passé je suis allée au Zoobizarre. Pour ceusse qui ne savent pas, le zoobiz est une genre de grotte psychédélique où les animaux de la faune urbaine se donnent en spectacle. Une genre de Cavern sans Beatles, quoi. Autre plus value, les murs des toilettes sont ouverts aux graffitis. À l'aide d'une craie blanche, les bestioles peuvent doublement marquer leur territoire en pissant leur pinte et en écrivant : Fuck le Zoobizarre! ou Ta mère suce des queues en enfer, Damien ! ou Marie-la-ventrue qui a l'herpès was here. Après coup, pu un chat veut aller dans les toilettes des filles. Mâles et femelles doivent partager le même bol comme dans Allez McBile. S'ensuit rapprochements inespérés et inattendus entre ti-gars et tites-filles qui justifient l'expression "accouplements raisonnables"... Vous me suivez ?

Jeudi soir donc, j'ai revêtu mon costume de poulet pour encourager un collègue à la langue bien pendue. Et qu'est-ce qu'il chantait, cet ami de bourreau ? Du punk, les amis. Oh que oui. Pennywise, NOFX, Rancid, Millencolin...j'ai toujours haaahhhit ça. Raison de plus pour me faire une tête estix. En parfait décalage avec la meute assez jeune et statique merci bonsoir, je me suis donc faite aller le bodé comme jamais en faisant onduler mes courbes lascives au rythme endiablé de la caverne. Seul hic: la sono du zoo n'étant pas celle du feu Spectrum, les groupies ne peuvent pas chanter avec le band à l'unisson puisqu'elles entendent que dalle. J'ai donc dû tendre l'oreille pour entendre mon collègue-chanteur crier: "Je ne veux pas finir comme Macaulay Culkin !!!", chanson-phare sur la carrière ô combien précoce et merveilleuse (Uncle Buck, Party Monster quelqu'un ?) d'un acteur à la lippe joufflue, boy toy de Micheal Jackson en plus !

Mais bon, même si j'avais été dure de la feuille (Ben là, pas si dure que ça... Crisse que vous pensez croche!), même mimé le show aurait été génial. La prochaine fois, je vous trimballe tous, parole d'enfant-star gone wild.

dimanche 25 mai 2008

Grâce et volupté



25 degrés le 25 mai, que demander de plus ? Que ça soit mon anniversaire peut-être ? Ta-dammmm: Ça l'est ! Aujourd'hui je soufflerai gracieusement une chandelle de plus sur mon double Jos Louis sans oublier de faire les vœux suivants: 1) La vie éternelle 2) Le retour de Kiwis et des hommes 3) posséder un H2O Vac. Le Jos Louis entamé, j'ai oublié tout mes souhaits dans la poche arrière de ma grenouillère alors j'ai dû, bien qu'ils ne m'appartiennent pas, en emprunter à d'autres, ce qui donne: 1) la paix dans le monde 2) des sous-marins gratisse à vie 3)une nouvelle image/carrière/vie

Suis revenue chez nous en pédalant Rosemont-Jean-Talon sans les mains et en sentant le Red Lobster à plein nez. L'odeur de crustacé qui se mixe à l'ammoniac des chats de ruelles, ça schlingue en crime soda ! N'empêche, le printemps possède un éventail d'odeur allant de doucereuses à grotesques, contrastant avec le vide atmosphérique de l'hiver qui sent arien pantoute.

Comme ça, j'sens vraiment le homard ? Mes deux colocs gais et velus acquiescent de la tête en me tournant autour comme deux primates qui veulent me faire la passe de La guerre du feu. Je leur donne à manger en guise de placebo. Bon, c'est pas du homard mais c'est salé et c'est ici que la comparaison s'arrête.

Beubé arrive demain soir, je vais pouvoir redevenir cette ménagère qui lui prépare les meilleurs repas du monde prêts en 5 minutes seulement, et ce, sans bavure. Sur ces belles paroles paroles paroles, je vous laisse, car avec une chandelle de plus à l'ardoise, il faut que j'aille me crémer. Si tout se déroule comme prévu, l'année prochaine, je devrai atteindre l'âge de la maturité, promis juré.

jeudi 22 mai 2008

C'est ça qui arrive quand on couche avec un ananas.


Regardez-le.

J’ai dit, regardez le. Il est beau hein ? Ou plutôt : hein qu’elle est belle cette enfant spontanément croquée sur le vif ? Je sais. C’est pas très clair tout ça. Tout de même. Quand je vois tout les pic-pics sust’ananas-là, je me dis ayoye. Pov' mère ! Ça pas dû faire du bien par où s'est passé.

Parlant de mouman, j’ai déjà envoyé cette photo à ma sœur, qui vient de donner vie à une adorable créature…qui pleure et qui fait caca, pour l’instant. En fait, non. Elle va continuer ces deux activités toute sa vie durant en attendant d’apprendre d’autres activités moins self-oriented, comme la tague BBQ ou kicke-la-cacanne avec l’aide précieuse de son ami de couleur.

Comment passez à côté de ce chef d’œuvre d’Anne Geddes nouveau genre ? Comment rester rigide comme une pâte à sel devant l’ampleur de ce projet artistique tutti frutti si porteur de sens ? Ne voyez-vous pas la photographe dire au bambin de sexe inconnu, : « Tu vas-tu la lâcher la *%@%$$\ de carambole ! Regarde la caméra ok ? La cam-é-ra bon… Bouge pas… Le petit ananas va sortir ! ».

Vous ne voyez pas ? Bin mettez-vos barniques estix !

Après l’enfant-roi, l’enfant-fruit règnera ! Tel un passage obligé, le fruit de vos entrailles sera béni, comme lui.

mardi 20 mai 2008

Mon Top 3 sur le Magic Bullet



Chef Tony et ses Miracle Blades ont déjà fait saliver les spectateurs à grande eau sur un émincé de planche de bois, un carpaccio de feuilles mobiles et le rêve tant espéré de « trancher un ananas en plein air… », (pas au jardin botanique mais bien dedans les airs – en plein vol – sans toucher au prélart) Tout cela était très sharp. À l’os, même.

Dans cette grande cour à miracle que son les infomercials, la nouvelle palme du mauvais goût reviendrait au Magic Bullet, terre promise de tout comptoir de cuisine. Car en plus de pulvériser des repas exquis, santé et dépourvu de flavour, le Magic Bullet conçoit des repas-secondes ! Les minutes étant trop chk-a-chk dispendieuses aujourd’hui, mieux vaut sauver du temps dans la kitchen, quitte à se répandre à son tour, la tête penchée au-dessus du grand téléphone blanc, les cheveux collés dans face.

Voici donc, pour vous fins cyber-palais, mon top 5 des plussses pires recettes du Tragic Boulette :

# 3 Milk-shake choco-menthe : Du lait et du sirop de chocolat. Jusqu’ici tout va bien. De la crème’à glace. Jusqu’ici tout va bien. Et des nénanes à menthe que l’animaltrisse aux faux-ongles longs comme ça à de la misère à déballer… Bizzzz Buzzz Bizzzz, en moins de 3 SECONDES !!! (« 1 bateau, 2 bateau, 3 bateau… »), vous avez un supppper frappppppé choco-menthe. (Palpitations, ueurs froides, suivis de rapports). Les petits bouttes de paparmanne qui goûtent la canne de Nwëlle dans le fond du verre risquent de vous jammer dans glotte comme un After Eight gobé d’une shotte. Pour cette recette, de grâce, soyez Aware.

# 2 Salade de poulet
: Des restes de la vieille, des raisins secs secs secs, des noix et un splourch de Miracle Whip parce que la vraie mayo fait pas assez « miraculeux » pour la tivi. Fourrez ça entre deux Gadoua toastées des deux bords. Ouvrez-grand. Mâchez. Mâchez. Mâchez. C’est long…. Bon. C’est fini, oui ? M’a m’impatienter là ! Ok. Essayez de siffler ensuite. Vous vous sentez souillés par cette expérience ? C’est normal. On vous a fourré. Et solide en plus. Vous aurez besoin d’Ozonol, c’est sûr.

# 1 Mousse au chocolat
: Recette ô simplissime. Minimale en Ta. Tiens, Josée Di Stasio, din dents ! Prenez de la crème 35 %, versez dans la boulette magique. Trois sproulch de sirop de chocolat Angie Mama. Faites buzzer la machine avec vos doigts de fée. Criez « Ciseaux !!! » : vous avez un dessert GOURMET prêt-à-manger !

Sachez que c’est toujours un plaisir de revoir les mêmes visages béats et béants de vacuité s’extasier devant un genre de broyeur à déchet de qui qu’on mangerait la vidange. Mention d’honneur à la matante à lunettes qui fume une clope en plastique et au hangoveux récalcitrant qui « détesssste les brocolis ! ».
En revanche, ej préfèrerais plutôt mourir nèyée dans ma propre bave qu’ingérer cette infâme contrefaçon ! Même le hamster vous aura prévenu. Tenez-vous le pour dit :

lundi 19 mai 2008

Consonnes In, Voyelles Out

Blâmez l’air du temps, blâmez le langage binaire des textos, mieux encore, blâmez Céline, bouc émissaire des grandes occasions. C’est que, chères gensses de bonnes mœurs, la tendance veut que le verbe moderne ce soit affublé d’une coquetterie hirsute, l’excision de la voyelle.

Alors que l’on moleste sans vergogne le club fermé des a.e.i.o.u.y, qui étaient hier encore, des V.I.P (Voyelles Incomprises et Psalmodiées), j’ose poser LA question : Quel avenir pour nos amies les voyelles ? Fini, la musicalité et les accents toniques ? Houston, nous avons un prblm.

Cette boutade littéraire s’étendrait jusque dans le choix de nom de groupe de musique. On y compte même quelques précurseurs, comme Lynrd Skynrd (même s’il y a deux Grecs là-dedans, on les cherche en bout de ficelle, les voyelles !), les ex-has-been-sur-le-retour-qui-le-sont-toujours-en-fait NKOTB et même les énarvés de KMFDM. Les plus récents dans la catégorie « Trop hot ! Notre nom de band sonne comme un groupe des pays de l’Est ! » sont MSTRKRFT (dit Masterkraft, le précieux outil multitask de Canadien Tire) MNGMT, (dit Management), la chanson SK8ER BOI (Avril mérite une mention spécial puberté rien que pour ça) et le restaurant M :BGR, où l’on sert… ben, des boulettes d’hmbrg staffaire !

Non mais... C'est pas parce que vous faites de la bonne zizique que vous devez vous promener, dixit ma grand-mère, en queue de chemise ! À force de vous dévêtir comme ça, vous allez vous retrouver tout nu dan’ rue !

Tout de même. Écrire sans voyelle c’est pas comme écrire sans les mains comme le dude dans Le scaphandre et le papillon. Ça vaut pas une ovation. Et pis c’est laitte en ti-jésus, pas de voyelles.

Crèyez moé, si y’a ben une langue qui è pas laitte icitte, cé ben la langue française !

Mais si c’est pour que ça paye plus au Scrbbl, je suis prête à essayer.

mardi 13 mai 2008

Oh my darling clementine !



Avec une chainsaw, il aurait eu un moins gênant résultat...

Notez bien les onomatopées vraiment gossantes de ce cher Gaston, expert en animation culturelle.
Un grand moment de télévision, c'est sûr !

Strass et pigeons


Pendant que Chéri est parti au pays des stars se faire griller la rétine dans une des salles obscures du Palais Lumière à Cannes, je combat la gangrène en pianotant sur le Worldwide Web. Alors qu'il se fera piler sur le pied par Scarlett, Penelope ou Harrisson (oui, oui ! Docteur Jones est de retour...), je me ferais piler sur un pied par un simple inconnu. Est-ce que j'envie Chéri, la mer, les vedettes et la Croisette ? Bah !

À Montréal aussi, on a du bling et des mouettes...
Et des vedettes, on en a plein le Lundi, la Semaine et le 7jours. Ça compte-tu si c'est toujours la même ? (a.k.a Nathalie Simard ?)